PROJET D’IMPLICATION DES FEMMES AUTOCHTONES ET DES COMMUNAUTES LOCALES DANS LA GESTION DES FORETS COMMUNAUTAIRE EN RDC
La collaboration effective avec les différentes parties prenantes est un gage de réussite que l’on observe pour notre projet pour l’instant car, elle nous a permis de lever les équivoques, les nombreuses incompréhensions et beaucoup des zones d’ombres sur notre projet.
La formation sur le genre, l’équité du genre, l’inclusion et la masculinité positive est une thématique appréciée et les gens voudrait que les séances soient organisées à l’intention des couples, pour que les hommes de la zone du projet s’en inspirent ;
Les autochtones pygmées(PA) peuvent s’émouvoir comme les autres communautés, il suffit de les accompagner, de leur donner une considération et de les approcher des autres communautés en respectant leurs cultures et leur identité en tant PA.
Dans les zones à sécurité fragile, le respect des consignes (principes humanitaires, surtout la neutralité) et des normes sécuritaires nous a permis de tenir en dépit de la situation sécuritaire instable dans certaines zones.
L’atelier d’information sur le projet a constitué une base solide pour les assises de ce projet. La stratégie adoptée pour commencer par informer les acteurs délocalisés au niveau de Bukavu était une mise en confiance non négligeable. En effet, les villageois se réfèrent toujours à leurs frères qui vivent à Bukavu ou à Kinshasa pour comprendre certains aspects, certains projets qui viennent de la ville. Lorsque leurs frères leur demandent de rejeter le projet, ils le font sans hésiter. En plus, les travaux d’information faits au niveau local ont dévoilé le contenu du projet pour tout le monde, y compris à travers la radio. Par conséquent lorsque tout le monde a été au courant de ce que se passe, de sorte que même la coordination de l’UEFA a commencé à recevoir des appels téléphoniques en provenance des villages pour en savoir encore d’avantage.